Les Jours que la Mer a Bercés
Auteur : Rémi Tournier
Date : Octobre 2024 - (photos prises en 09/2025)
Adresse : 2 avenue Niquet - Antibes (06)
Rémi Tournier
Site officiel
Cette fresque a été réalisée dans le cadre du festival « Couleurs d’Automne » 2024.
Elle est l’œuvre de Rémi Tournier, l’ex Sismik du duo qu’on aimait tant, Sismik-Azot.
Rémi Tournier a entamé un travail sur les compositions matérielles des ports de pêche. Antibes étant une ville côtière, il s’est rendu sur le quai des pêcheurs, où il ne reste que quelques embarcations au milieu des bateaux de plaisance. Il voulait voir les compositions et particularités locales de ces entassements qu’il aime tant.
Il met ici l’accent sur les drapés présents dans ces scènes. « Les pêcheurs utilisent souvent des draps, nappes et tissus familiaux traditionnels pour protéger leur matériel. Ces nappes se retrouvent là après avoir passé des années sur la table de la cuisine, puis certainement le même temps dans un placard. La rencontre visuelle de cet héritage avec les compositions plastiques me paraît magnifique. J’y ressens une part intime de leur vie et de leur histoire.
Cette fresque évoque les générations passées, le silence sur le quai lorsque les bateaux sont en mer, et la solitude comme une forme de refuge. Cela suggère aussi que les villes côtières vivent au rythme de la mer, et que c’est elle qui décide toujours de ce qu’elle fera de nous. ».
Elle est l’œuvre de Rémi Tournier, l’ex Sismik du duo qu’on aimait tant, Sismik-Azot.
Rémi Tournier a entamé un travail sur les compositions matérielles des ports de pêche. Antibes étant une ville côtière, il s’est rendu sur le quai des pêcheurs, où il ne reste que quelques embarcations au milieu des bateaux de plaisance. Il voulait voir les compositions et particularités locales de ces entassements qu’il aime tant.
Il met ici l’accent sur les drapés présents dans ces scènes. « Les pêcheurs utilisent souvent des draps, nappes et tissus familiaux traditionnels pour protéger leur matériel. Ces nappes se retrouvent là après avoir passé des années sur la table de la cuisine, puis certainement le même temps dans un placard. La rencontre visuelle de cet héritage avec les compositions plastiques me paraît magnifique. J’y ressens une part intime de leur vie et de leur histoire.
Cette fresque évoque les générations passées, le silence sur le quai lorsque les bateaux sont en mer, et la solitude comme une forme de refuge. Cela suggère aussi que les villes côtières vivent au rythme de la mer, et que c’est elle qui décide toujours de ce qu’elle fera de nous. ».
